fiche technique Dames Brunes


Fiche technique Natasha Bezriche mise à jour du 21 mai 2018
’Dames Brunes’’ Contacts: 
Régisseur son : Gilles Daumas 06 74 45 68 21 ou 04 69 19 33 61                      gilles.daumas(arobase)laposte.net
Chanteuse, référent lumières : Natasha Bezriche 04 78 37 61 98 ou 06 24 24 74 86        natasha.bezriche(arobase)wanadoo.fr
Vous allez prochainement accueillir le spectacle « Dames Brunes » de Natasha Bezriche. Pour assurer le meilleur déroulement possible de cet événement, nous vous remercions de lire attentivement l’ensemble des besoins techniques nécessaires au fonctionnement de ce spectacle et de tenir compte de chacune des demandes formulées.
Notre régisseur son est à votre disposition pour répondre à toutes vos interrogations et vous aider à adapter au mieux nos demandes à vos moyens ; vous trouverez ses coordonnées au-dessus

La note d'intention en .pdf

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articles de presse

Note d'intention

Spectacle "DAMES BRUNES"
Natasha BEZRICHE (chant)
Sébastien JAUDON (piano & arrangements)

Note d'intention

Hommage à la "Longue dame brune",

 par une autre  ‘’Longue Brune’’, et un homme-en-piano, noir:

BARBARA… /. /…NATASHA

4 consonnes, 3  ‘’A’’, pour 2 Dames Brunes et 1 temps de chansons…

Vingt ans déjà que Barbara est partie un 24 novembre de 1997 … La longue dame s'est endormie… Mais pour bon nombre d’entre nous, elle ne s’est pas tue pour autant. Elle chante encore au creux de nos nuits, de nos vies. Tristesse profonde ressentie par le public, lorsqu’elle s’en est allée, et cette impression que le monde serait, à partir de ce jour-là, un peu comme incomplet sans elle. Barbara chantait pour 3 générations. Avec ses mots et cette personnalité si contrastée, c’est un peu comme si elle aidait à vivre. Pour elle, la chanson était comme une conversation avec nous.
Barbara, c'est cette " longue dame", celle qui, habillée par Mine Barral-Vergez à la ville comme à la scène arrivait à nous émouvoir, à nous faire rire, à nous donner cette impression d'être dans un monde à part … Barbara c'est aussi l'invitée de nos insomnies lorsque sa voix vient comme pour nous rassurer et dire:- "N’ayons pas peur, nous sommes nombreux à être comme ça: fragiles, sensibles, émotifs, bref ceux pour qui rien n'est facile".
Pas simple dresser le portrait de cette artiste-là. L’écouter est tellement plus parlant. Juste laisser monter, sa voix claire au début, un peu cassée ensuite comme pour dire : merci ! Elle ne nous a pas quittés, le jour où elle s’en est allée. Elle est là encore, et nombreux sont les artistes qui continuent à la faire exister sous différentes formes.
Peut-être serait-elle heureuse que nous soyons là, nous aussi sur scène, vingt ans plus tard, pour continuer le dialogue.

Chanter Barbara, sa nuit et ses soleils, comme pour aller à sa rencontre plutôt que parler d’elle. Essayer de retrouver la femme qu’elle était et remonter sa route et ses inspirations en chansons. Explorer les origines de ses cent soixante chansons… En choisir quelques-unes. Et tout le siècle y passe, de l'étoile jaune, au tourbillon Rive gauche, de la guerre d'Algérie, au virus HIV... Avec elle, on erre le ventre vide dans la Bruxelles-grise et humide des années 1950, on respire les roses de Göttingen, on déambule dans les jardins de Vienne ou parmi les parfums de l’Afrique équatoriale, on enterre un père au détours des rues froides et pluvieuses de Nantes , et puis on se réchauffe au creux des bras de Pierre, Claude, Jean, Victor ou Simon , et on revit enfin dans les replis soyeux des velours rouges et noirs dans la tiédeur de ces théâtres qu’elle a tant aimé. Les premiers tours de chants, où le trac est là, les sorties de scène, les saluts qui dansent, les échappées en voiture parce qu'elle déteste rester dans la ville où elle vient de chanter. Les mélodies enregistrées la nuit, sur son magnétophone…

Barbara c'est tout ça et même si elle n’habite plus nos théâtres depuis vingt ans, elle "chante encore’’, en fait, et il ne faut pas cesser de faire
entendre ses chansons, ses mots, sa voix. La chanter encore et toujours, la redécouvrir, la faire entendre à d’autres, la faire connaitre aussi à la jeune génération, car elle ne cesse de nous émerveiller. Cette grande dame brune, qui nous a émus, bouleversés, que nous sommes nombreux à avoir aimée, nous lie malgré le temps qui passe et nous réunis toujours. Que l'on soit admiratif de son travail et de son univers poétique, comme beaucoup, ou simple amateur de ses chansons: des larmes et des étoiles illuminent encore le sillage de Barbara.

Femme-piano, amoureuse solitaire, extravagante, exigeante, saltimbanque, libertaire, mauvaise cuisinière, jardinière à Précy-sur-Marne, téléphage et tricoteuse, cette "Longue dame brune " demeure une figure atypique de la culture française et de la chanson francophone

Quand le destin vient se mêler à l’existence, l'intime rejoint vite l'universel: Barbara énigmatique et mystérieuse se révèle d'une cohérence absolue. Pour elle, le bonheur s'avère moins accessible que la gloire, mais son talent, sa générosité immense firent aussi de sa vie, une fête.

En traversant son répertoire chacun peut y reconnaître, via un chagrin partagé ou un éclat de rire : le battement de son propre coeur.
Ce répertoire vit en nous depuis des années, alors tout naturellement il fallait qu’il advienne, d’où l’importance à présent pour nous : - Sébastien JAUDON (pianiste) et moi: Natasha BEZRICHE (chanteuse), de reprendre ses chansons, de partager ses mots, et ses musiques, quelques notes "Si mi la ré, si mi la ré, si sol do fa", comme on entendrait au loin un doux souvenir de l’enfance, sa voix de ‘’ petite cantate’’, qui viendrait comme pour ramener sur nos coeurs, son sourire complice.

Pour nous, Barbara c’est le chant de l’intime . Cette silhouette longue et fine devant le piano noir, une voix fragile aux fêlures félines… Elle est une artiste unique, et si son répertoire est aussi marquant, c’est parce que Barbara s’est mise à nu, sublimant les tragédies qui ont marqué sa vie, son enfance dans les temps de la guerre, la pauvreté et jusqu’au sombre drame de l’inceste et malgré cela cette force, cette joie de vivre.
Cette résilience obstinée transcendée à l’extrême à travers son amour des hommes, sa passion des roses de la vie.

Barbara : c’est une carrière hors normes. Une femme fantasque avec certains aspects méconnus, car elle était exigeante, voire autoritaire, parfois même tyrannique, mais aussi passionnée, si généreuse et tellement drôle. C’est aussi le timbre si particulier de cette voix qui était sienne, le phrasé unique de ses mots, la profondeur de sa poésie et la musicalité de ses compositions épousant sa fragilité mais aussi sa force, et venant dire les blessures enfouies, les combats menés, les doutes, les désillusions, les petites choses toutes simples de l'existence et dans lesquelles, forcément chacun se retrouve.

Ce spectacle ‘’Dames Brunes’’ dresse un portrait formidablement vivant de la longue dame en noir. L’errance, l'enfance, sa mère, un bref mariage, son humour, ses hommes, Nantes: son père vagabond moribond… Mais plus que tout : son parcours qui aura été jalonné de bonheurs, et fut illuminé surtout par l’histoire d'amour qui l'a liée à son public. Sa vie aura été guidée par cette quête de son public et du succès. Personne n'a oublié l'interprète de Nantes, de Göttingen, de la Petite Cantate, de l’Aigle noir ou de Ma plus belle histoire d’amour.

Ce spectacle autour des chansons de Barbara vient nous rendre cet univers de femme, sa voix, son souffle, ses éclats de rire, ses hésitations, ses cassures et ses silences qui enveloppent et ont fasciné ses auditeurs.
Et on devine bien en filigrane, cette femme qui se cachait le jour, pour pouvoir exister dès le soir venu, sur scène et dans la pleine lumière des projecteurs: celle qui vivait intensément sur les planches cette part de la vraie vie, celle qui s’ enfermait dans sa loge, qui s'est lentement reconstruite et recréé dans la quiétude des théâtres, celle qui ne voyait et ne croyait qu'aux lumières, et qui ne parlait pas ou si peu, sinon dans son sommeil.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.

Avec ‘’Dames Brunes’’ par touches sensibles, nous évoquons les histoires d'amour que cette artiste rebelle et solitaire a tissées avec sa famille, ses hommes, son public, et il est nécessaire aussi de faire une place à son humour caustique par moments, son engagement aussi et son immense générosité auprès des blessés de la vie ou des malades du sida.

Entrer sur scène pour Barbara, ce n’était pas faire un métier, mais rejoindre sa vérité.
Natasha Bezriche & Sébastien Jaudon

Voici quelques extraits du spectacle ‘’DAMES BRUNES’’ (Live- à Lyon-Music –Rue Sala Lyon 2° chez l’ami Yves DUGAS-Mai 2018)
Natasha Bezriche chante BARBARA -(Piano & arrangements : Sébastien JAUDON)
note d'intention récital Barbara

Besoins techniques son


L’organisateur du spectacle s’engage à fournir et installer les éléments suivants :

Diffusion son façade

  • un système stéréophonique professionnel (L-Acoustics, D&B, Meyersound, Nexo…) de puissance et couverture adaptées à la salle, pouvant fournir un niveau efficace moyen de 95dBA en tout point du public, de 60 Hz à 16 kHz, et ce, sans distorsion, compression ni bruit de fond audibles.

Diffusion son plateau

  • 3 retours au sol sur 2 circuits, type L-Acoustics 108P ou équivalent,

Régie son

  • La régie doit être placée en salle, et si possible dans l’axe de la scène.
  • Console numérique type Yamaha 01V96
  • Lecteur CD (sauf si la console est une 01V96i)
  • Prévoir un emplacement pour un rack 4U fourni par nos soins.

Plateau son

  • Voir le patch ci-dessous.

barbara

Besoins techniques lumière 

L’organisateur du spectacle s’engage à fournir :
  • Un régisseur lumière qui assurera le montage et la conduite lumière pendant les représentations (nous nous déplaçons sans régisseur lumière),
  • Un pupitre à 12 circuits et 2 préparations manuelles ou séquentiel à mémoire,
  • 12 circuits de gradateurs,
  • Les projecteurs et les filtres figurant au patch ci-dessous, ou bien des équivalents mieux adaptés au
  • lieu de la représentation.
La conduite lumière vous sera transmise le premier jour des représentations. A votre demande, elle
pourra vous être envoyée à l’avance.
patch lumières Barbara

Plan scène

plan scène Barbara
Personnaliser

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