fiche technique Dames Brunes
Chanteuse, référent lumières : Natasha Bezriche 04 78 37 61 98 ou 06 24 24 74 86 natasha.bezriche(arobase)wanadoo.fr
Vous allez prochainement accueillir le spectacle « Dames Brunes » de Natasha Bezriche. Pour assurer le meilleur déroulement possible de cet événement, nous vous remercions de lire attentivement l’ensemble des besoins techniques nécessaires au fonctionnement de ce spectacle et de tenir compte de chacune des demandes formulées.
Notre régisseur son est à votre disposition pour répondre à toutes vos interrogations et vous aider à adapter au mieux nos demandes à vos moyens ; vous trouverez ses coordonnées au-dessus
La note d'intention en .pdf
Vidéos
articles de presse
Note d'intention
Spectacle "DAMES BRUNES"
Natasha BEZRICHE (chant)
Sébastien JAUDON (piano & arrangements)
Note d'intention
Hommage à la "Longue dame brune",
par une autre ‘’Longue Brune’’, et un homme-en-piano, noir:
BARBARA… /. /…NATASHA
4 consonnes, 3 ‘’A’’, pour 2 Dames Brunes et 1 temps de chansons…
Vingt ans déjà que Barbara est partie un 24 novembre de 1997 … La longue dame s'est endormie… Mais pour bon nombre d’entre nous, elle ne s’est pas tue pour autant. Elle chante encore au creux de nos nuits, de nos vies. Tristesse profonde ressentie par le public, lorsqu’elle s’en est allée, et cette impression que le monde serait, à partir de ce jour-là, un peu comme incomplet sans elle. Barbara chantait pour 3 générations. Avec ses mots et cette personnalité si contrastée, c’est un peu comme si elle aidait à vivre. Pour elle, la chanson était comme une conversation avec nous.entendre ses chansons, ses mots, sa voix. La chanter encore et toujours, la redécouvrir, la faire entendre à d’autres, la faire connaitre aussi à la jeune génération, car elle ne cesse de nous émerveiller. Cette grande dame brune, qui nous a émus, bouleversés, que nous sommes nombreux à avoir aimée, nous lie malgré le temps qui passe et nous réunis toujours. Que l'on soit admiratif de son travail et de son univers poétique, comme beaucoup, ou simple amateur de ses chansons: des larmes et des étoiles illuminent encore le sillage de Barbara.
Ce répertoire vit en nous depuis des années, alors tout naturellement il fallait qu’il advienne, d’où l’importance à présent pour nous : - Sébastien JAUDON (pianiste) et moi: Natasha BEZRICHE (chanteuse), de reprendre ses chansons, de partager ses mots, et ses musiques, quelques notes "Si mi la ré, si mi la ré, si sol do fa", comme on entendrait au loin un doux souvenir de l’enfance, sa voix de ‘’ petite cantate’’, qui viendrait comme pour ramener sur nos coeurs, son sourire complice.
Pour nous, Barbara c’est le chant de l’intime . Cette silhouette longue et fine devant le piano noir, une voix fragile aux fêlures félines… Elle est une artiste unique, et si son répertoire est aussi marquant, c’est parce que Barbara s’est mise à nu, sublimant les tragédies qui ont marqué sa vie, son enfance dans les temps de la guerre, la pauvreté et jusqu’au sombre drame de l’inceste et malgré cela cette force, cette joie de vivre.
Cette résilience obstinée transcendée à l’extrême à travers son amour des hommes, sa passion des roses de la vie.
Ce spectacle ‘’Dames Brunes’’ dresse un portrait formidablement vivant de la longue dame en noir. L’errance, l'enfance, sa mère, un bref mariage, son humour, ses hommes, Nantes: son père vagabond moribond… Mais plus que tout : son parcours qui aura été jalonné de bonheurs, et fut illuminé surtout par l’histoire d'amour qui l'a liée à son public. Sa vie aura été guidée par cette quête de son public et du succès. Personne n'a oublié l'interprète de Nantes, de Göttingen, de la Petite Cantate, de l’Aigle noir ou de Ma plus belle histoire d’amour.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et
la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Ce qui domine toujours, c'est l'idée qu'elle "chante vrai", qu'elle ne fait pas semblant. Elle parlait intimement de son vécu. Elle nous disait sans retenue,-mais toujours pudiquement- ce qui était vrai pour elle, ce qui se jouait en elle. Son désespoir et son désir de vivre et d'aimer, rejoignaient alors les nôtres, les mêmes aveux en demi-teintes, la même inconsolable nostalgie, indéfinissable pourtant, où se mêlent les souvenirs de l'enfance, la peur et la fascination de la mort , et aussi le même émerveillement devant la nature entière que chaque saison renouvelle.
Avec ‘’Dames Brunes’’ par touches sensibles, nous évoquons les histoires d'amour que cette artiste rebelle et solitaire a tissées avec sa famille, ses hommes, son public, et il est nécessaire aussi de faire une place à son humour caustique par moments, son engagement aussi et son immense générosité auprès des blessés de la vie ou des malades du sida.
Entrer sur scène pour Barbara, ce n’était pas faire un métier, mais rejoindre sa vérité.
Voici quelques extraits du spectacle ‘’DAMES BRUNES’’ (Live- à Lyon-Music –Rue Sala Lyon 2° chez l’ami Yves DUGAS-Mai 2018)
Natasha Bezriche chante BARBARA -(Piano & arrangements : Sébastien JAUDON)
Besoins techniques son
L’organisateur du spectacle s’engage à fournir et installer les éléments suivants :
Diffusion son façade
- un système stéréophonique professionnel (L-Acoustics, D&B, Meyersound, Nexo…) de puissance et couverture adaptées à la salle, pouvant fournir un niveau efficace moyen de 95dBA en tout point du public, de 60 Hz à 16 kHz, et ce, sans distorsion, compression ni bruit de fond audibles.
Diffusion son plateau
- 3 retours au sol sur 2 circuits, type L-Acoustics 108P ou équivalent,
Régie son
- La régie doit être placée en salle, et si possible dans l’axe de la scène.
- Console numérique type Yamaha 01V96
- Lecteur CD (sauf si la console est une 01V96i)
- Prévoir un emplacement pour un rack 4U fourni par nos soins.
Plateau son
- Voir le patch ci-dessous.
Besoins techniques lumière
- Un régisseur lumière qui assurera le montage et la conduite lumière pendant les représentations (nous nous déplaçons sans régisseur lumière),
- Un pupitre à 12 circuits et 2 préparations manuelles ou séquentiel à mémoire,
- 12 circuits de gradateurs,
- Les projecteurs et les filtres figurant au patch ci-dessous, ou bien des équivalents mieux adaptés au
- lieu de la représentation.
pourra vous être envoyée à l’avance.